Matières grasses vs glucides : quel carburant pour quel niveau d’effort ?
Introduction
L’endurance ne consiste pas à choisir un seul carburant : il s’agit de savoir quand utiliser les graisses et quand utiliser les glucides .
Maîtriser cet équilibre maximise les performances et la résilience.
Comprendre les systèmes énergétiques
Intensité faible à modérée (zone 1-2) :
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Combustible principal : FAT
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L’oxydation des graisses domine aux intensités aérobies.
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Clé pour la construction de base, les événements longue distance, l'entraînement d'endurance.
Intensité modérée à élevée (zone 3+) :
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Carburant principal : GLUCIDES
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Le glycogène devient crucial pour les sprints, les montées de côtes et les poussées.
Lectures connexes : Flexibilité métabolique : pourquoi c'est l'avantage ultime en matière de performance
Pourquoi la graisse domine l'endurance
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Réserves de graisse infinies même chez les athlètes minces (~40 000 kcal)
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Énergie stable et durable sans troubles gastro-intestinaux
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Moins de stress oxydatif et d'inflammation par rapport aux stratégies riches en glucides
Quand les glucides sont encore nécessaires
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Rafales de haute intensité (effort anaérobie)
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Arrivées sprint, montées, départs de course
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Situations où le rendement maximal est important
L’athlète idéal est adapté à la graisse , mais sait quand déployer stratégiquement les glucides , sans en dépendre.
Lectures connexes : Économie de glycogène : la clé pour aller plus loin sans s'effondrer
Comment Holyfat soutient le ravitaillement intelligent
Holyfat permet aux athlètes adaptés aux graisses de performer au mieux de leurs capacités, en soutenant des sorties longues et régulières avec des graisses propres et en minimisant le cycle de crash-and-burn associé aux stratégies riches en sucre.
Références :
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Brooks, GA (1997). Importance de la navette lactate.
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Coyle, EF (1995). Utilisation des substrats pendant l'exercice chez l'homme.
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Phinney, SD (1983). Régimes cétogènes et performances d'endurance.